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La présidente de la CFE-CGC veut aborder de façon « pragmatique » la nouvelle séance de négociation sur les retraites complémentaires. Elle juge « prématurée » une fusion Agirc-Arrco. « Ceux qui la prônent ne mesurent pas le tsunami social qu’ils vont provoquer », lance-t-elle.
Avec beaucoup d’inquiétudes. Nous avons un gros point de blocage avec le patronat sur la question de la hausse des cotisations. Elle est pour nous dans la logique de l’effort partagé. Chacun doit faire un bout de chemin pour sauver les retraites complémentaires : les salariés, les retraités et les entreprises. Chacun doit arriver à dépasser son intérêt individuel. L’enjeu dépasse les seules retraites complémentaires. Il en va de l’avenir du paritarisme.
A la CFE-CGC, nous avons fait le choix courageux de tenir un discours de vérité à nos adhérents sur la nécessité de cet effort partagé, ce qui n’est pas le plus facile, et nous avons des propositions responsables sur la table. Nous sommes dans la logique de rechercher un accord.
Le sondage ne dit ni oui, ni non. Nous ne sommes pas dogmatiques. Nous sommes pragmatiques. Nous n’excluons donc pas par principe de renforcer la convergence entre l’Arrco et l’Agirc.
Vous parlez de convergence, mais la CGC est-elle prête à accepter une fusion ?
Aujourd’hui, la fusion Agirc-Arrco est prématurée. Ceux qui la prônent ne mesurent pas le tsunami social qu’ils vont provoquer : début du détricotage du statut cadres, remise en cause des conventions collectives catégorielles, remise en cause du régime de prévoyance des cadres et enfin du financement de l’Apec (Association pour l’emploi des cadres) puisqu’il est assuré via une cotisation collectée par l’Agirc.
Vous prônez donc le statu quo ?
Il n’est pas question de lâcher la proie pour l’ombre. Nous demandons à traiter des quatre questions que je viens d’évoquer avant d’aller plus loin dans la convergence des deux régimes. Notre enquête démontre que le statut cadre est aujourd’hui pour 57 % des cadres la seule possibilité d’ascenseur social dans les entreprises. La priorité est donc pour notre organisation de négocier un statut de l’encadrement. Cela fait des années que nous demandons au patronat l’ouverture de ce dossier.
Il l’a inscrit à l’agenda social cette année...
Mais les discussions n’ont toujours pas démarré. Bien entendu, il ne s’agit pas pour nous d’un statut cadres au rabais mais bien de remettre en place l’ascenseur social auquel nous sommes attachés autour d’une logique d’expertise d’un côté et de management de l’autre. Tant que cet accord ne sera pas conclu, la CFE-CGC s’opposera à toute forme de fusion entre l’Arrco et l’Agirc.
Que proposez-vous pour garantir l’avenir des retraites complémentaires ?
D’abord, prendre une mesure d’urgence : augmenter les cotisations plus vite que l’inflation en 2016. +1,25 point coûterait 6,65 euros par mois aux cadres et 10,85 euros à leurs employeurs et rapporterait 1 milliard d’euros.
En outre, nous proposons que pendant cinq ans, entre 2016 et 2020, la revalorisation du salaire de référence qui sert de base au calcul de la retraite progresse de 3,5 % de plus que les prix. Pas question pour nous de geler encore les pensions, mais nous proposons de limiter leur revalorisation à un tiers de l’inflation pendant trois ans, en plus du report d’avril à octobre de la revalorisation annuelle . Quant aux entreprises, elles verraient leur cotisation augmenter à partir de 2019.
Etes-vous prêts à un abattement en cas de départ avant 65 ans comme le propose le patronat ?
Cela rejoint notre idée de retraite à la carte. Si les entreprises font un effort équivalent, sur le principe, nous n’y sommes donc pas opposés. Mais certainement pas au niveau proposé par le Medef. Il est traversé par différentes tendances. J’espère que la tendance attachée au dialogue social, au paritarisme l’emportera. Le chef de file de la délégation patronale, Claude Tendil, semble dans une vraie recherche d’un compromis intelligent, mais quelle sera sa marge de manœuvre ? On ne peut prévoir quel sera le point d’atterrissage de la négociation. Nous verrons le 16 octobre si le patronat est capable de passer des déclarations d’amour à l’encadrement à des preuves d’amour.
Source: les echos.fr
Le point sur l'affaire participation
De façon bien étrange, la Cour de cassation a cassé l'arrêt de la Cour d'appel en s'appuyant sur les rapports des commissaires aux comptes, quand bien même ceux-ci auraient validé des comptes factices.
Cela n'arrête pas pour autant la procédure en cours, les 1187 dossiers individuels vont être joints et traités globalement.
Afin de faire taire certaines rumeurs inexactes ou imprécises sur ce dossier, vous pouvez prendre connaissance du courrier envoyé à chacun des plaignants.
Lire le courrier de Maître Zerah
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