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Si vous ne l'avez pas encore fait et que vous souhaitez vous joindre à cette démarche, contactez votre délégué syndical ou directement Maître Zerah : roland.zerah@wanadoo.fr
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Il empoisonne la vie de millions de salariés. Il casse les performances des entreprises. Il creuse le déficit de la Sécurité sociale. Et pourtant, le stress au travail a longtemps été considéré comme un problème mineur. Pour les employeurs, c'était la faute aux individus trop fragiles. Pour les syndicats, c'était la faute aux petits chefs trop autoritaires et aux actionnaires trop exploiteurs. Pour le gouvernement, c'était un non-sujet. A vrai dire, cette attitude pouvait paraître la plus sensée. L'Etat n'a pas vocation à intervenir sur tous les problèmes, même si les ministres, les journalistes, et les Français dans leur ensemble semblent parfois croire l'inverse. Et, sans faire injure aux fonctionnaires, le stress au travail est sans doute plus fréquent dans le secteur privé, où l'intensification du travail et la restructuration des postes sont devenues le lot quotidien. Mais le problème est trop grave pour ne pas saluer tout ce qui peut contribuer à la prise de conscience. Voilà pourquoi le rapport présenté hier par Philippe Nasse et Patrick Légeron, et l'annonce de nouveaux travaux sur la question par le ministre du Travail, Xavier Bertrand, vont dans le bon sens, même si certains peuvent juger l'un et l'autre un peu décevants.
ll faudra bien sûr aller plus loin dans la compréhension de ce phénomène mal défini, peu connu et non mesuré. Mais les quelques indications disponibles semblent montrer qu'il y a là une spécificité hexagonale. Les Français sont bien moins satisfaits de leur travail que les salariés de la plupart des autres pays. Ils sont les champions de la consommation d'antidépresseurs, un médicament souvent prescrit en cas de stress. Ceux d'entre eux qui détiennent des responsabilités hiérarchiques déclarent que les relations avec leurs collaborateurs sont conflictuelles, bien plus que dans les autres pays. La loi sur les 35 heures, qui a fait franchir une marche brutale à la durée hebdomadaire du travail, n'a rien arrangé. Près de la moitié des salariés estiment qu'ils ont moins de temps qu'avant pour accomplir les mêmes tâches. Le stress, un mot anglais, une réalité française.
Cette particularité tricolore renvoie à un autre trait national : la faiblesse du dialogue social. Car ce qui cause le stress, c'est d'abord l'organisation du travail (ou son inorganisation, ou ses « désordres », selon l'expression de l'économiste Philippe Askenazy). Pour être optimale, cette organisation doit être négociée et non imposée. Et d'autant plus que le travail devient plus intense. L'enjeu dépasse largement le confort des salariés. Il en va de l'efficacité des entreprises, et du modèle social dans son ensemble. La réussite du gouvernement dans sa volonté d'accroître la proportion de Français ayant un emploi dépend aussi de notre capacité collective à réduire le stress. Comme le dit un autre jeune économiste, Thomas Philippon : « On ne remettra pas durablement les Français au travail sans rendre le travail plus attractif et plus satisfaisant. » Et donc moins stressant.
Jean Marc Vittori
source :Les Echos :http://www.lesechos.fr/info/analyses/4700408.htm
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